La multiplicité des groupes armés bat record depuis un certain moment dans le groupement Bakaeku, chefferie de Babila-Babombi en province de l’Ituri. Un acteur des droits humains dans cette zone ponte du doigt les conflits fonciers parmi les causes. Il l’a indiqué ce mercredi 12 mars 2025 au cours d’un entretien avec la rédaction de la rcvma.

Grace Kakine se dit consterné par de cas des tueries et des disparitions des personnes par des groupes armés, auteurs du climat d’insécurité dans la zone.

Ces groupes s’identifient sous couverture des volontaires pour la défense de la patrie communément appelé « Wazalendo ».

Très inquièt de cette situation, cet acteur des droits humains appelle l’appareil judiciaire et les autorités militaires à se pencher dans la véracité sur les conflits fonciers afin de pouvoir contourner les dangers de la multiplicité des groupes armés.

Il convient de signaler que la chefferie de Babila Babombi est menancée ces jours par des atrocités perpétrées par des groupes armés mettant en mal la vie de la population locale.

Mwenge Kake